Les organismes chargés de l’accompagnement des auto-entrepreneurs ont participé le 22 février à une réunion au cours de laquelle Hervé Novelli qui a lancé le statut il y a un an leur a indiqué les objectifs vers lesquels leurs initiatives 2010 devraient tendre : plus de coordination et des offres de services mieux adaptés aux différents profils d’auto-entrepreneurs.

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320 000 auto-entrepreneurs en 2009 au lieu des 200 000 attendus. Même si la traduction de cette statistiques en termes de chiffre d’affaires n’est pas aussi satisfaisante que ce que le gouvernement pouvait souhaiter à son lancement, personne ne peu contester qu’en termes de simplification des démarches de création d’entreprise le jeune statut a bien joué son rôle.

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La clause d’inaliénabilité est un dispositif juridique qui restreint la possibilité pour un actionnaire de céder ses titres dans une entreprise pendant une période déterminée. Elle est de plus en plus utilisée pour protéger les intérêts des actionnaires minoritaires, renforcer la stabilité financière de l’entreprise et garantir sa pérennité. La mise en place de la clause d’inaliénabilité est souvent motivée par des enjeux de gouvernance d’entreprise, notamment pour limiter les risques d’ingérence d’investisseurs hostiles ou pour faciliter la gestion des successions dans les entreprises familiales. Les différents types de clause d’inaliénabilité  La clause d’inaliénabilité est un outil juridique utilisé pour restreindre la possibilité de céder des titres d’une entreprise. Lire cet article pour en savoir plus sur la clause d’inaliénabilité. Les types de clause d’inaliénabilité  Il existe plusieurs types de clauses d’inaliénabilité, chacune avec des objectifs et des implications différentes. Voici les types de clause d’inaliénabilité : clause d’inaliénabilité temporaire : cette clause limite la possibilité de céder des titres pendant une période donnés. Elle est utilisée dans le cadre d’une opération de fusion-acquisition, par exemple, pour garantir que les actionnaires actuels restent impliqués dans l’entreprise durant une période critique ; clause d’inaliénabilité partielle : cette clause restreint la possibilité de céder une partie seulement des titres détenus par l’actionnaire concerné. Elle est utilisée pour garantir qu’un actionnaire conserve une participation minimale dans l’entreprise ; clause d’inaliénabilité totale : cette clause interdit complètement la cession des titres concernés. Elle est utilisée pour protéger les intérêts des actionnaires minoritaires ou pour garantir la stabilité de l’entreprise à long terme ; clause d’inaliénabilité réversible : l’actionnaire concerné a le droit de céder ses titres sous certaines conditions, par exemple, si l’entreprise est en difficulté financière ou si un événement majeur survient ; clause d’inaliénabilité croisée : cette clause impose des restrictions à la fois à l’actionnaire concerné et à un ou plusieurs autres actionnaires. Elle est utilisée pour garantir un équilibre dans la répartition des pouvoirs au sein de l’entreprise. Les limites de la clause d’inaliénabilité  La clause d’inaliénabilité comporte des limites importantes à considérer, elle limite la liquidité des actions concernées. En effet, si un actionnaire n’a pas l’occasion de vendre ses actions, il est difficile pour lui de récupérer sa mise ou de réaliser des plus-values. Cette restriction dissuade également les investisseurs potentiels d’acheter des actions de l’entreprise, cela réduit la demande pour ces actions sur le marché. La clause d’inaliénabilité est stipulée dans les statuts d’une société pour limiter la cession de parts ou d’actions à des tiers non souhaités par les associés. En outre, la clause d’inaliénabilité est contournable ou invalidée dans certaines situations. Par exemple, si un actionnaire vend ses actions pour des raisons financières personnelles, il est en mesure de faire appel à un tribunal pour lever la clause d’inaliénabilité. Certaines juridictions ne reconnaissent pas la validité de la clause d’inaliénabilité ou l’interprètent de manière différente. Les conditions de validité de la clause d’inaliénabilité sont strictement encadrées par le Code civil et la jurisprudence. La clause d’inaliénabilité limite la flexibilité de l’entreprise. Si un actionnaire n’a pas l’occasion de vendre ses actions, il sera difficile de restructuration de l’entreprise ou de collecte de

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Les automobilistes confrontés à ce type de dommages font, dans l’immense majorité de cas (66%), appel à un prestataire indépendant des concessionnaires pour résoudre le problème. Le marché « bris de glace » est en effet dominé par des réseaux spécialistes qui cherchent à développer un service de proximité, partout sur le territoire en s’appuyant sur des franchisés. Bris de glace : jusqu’à 10% de automobilistes touchés Les enseignes spécialisées dans la réparation de vitrages auto ont pris l’ascendant depuis une vingtaine d’années sur les concessionnaires et garages qui exercent une activité de maintenance plus globale. Il faut dire que demande est forte sur ce créneau : entre 7 et 10% des automobilistes subissent, au moins une fois dans l’année, un bris de glace sur leur véhicule. Afin de renforcer leur maillage territorial en régions et déployer un service de proximité à l’échelle des métropoles et des villes moyennes en lien avec les zones rurales, ces entreprises bâtissent un réseau composé d’ateliers locaux. A Lyon, Saint-Etienne, Grenoble ou dans de plus petites unités urbaines comme Chambéry, Bourg-en-Bresse ou Aurillac, un prestataire indépendant s’est déjà engagé auprès de France Pare-Brise pour devenir franchisé pare brise, au sein de ce réseau national. Créée il y a presque trente ans par une quinzaine de professionnels spécialisés dans la réparation d’impacts sur les parties vitrées des automobiles et/ou leur remplacement, ce groupe s’appuie depuis 2009 sur le modèle de la franchise pour accélérer son développement (en 2016, la marque a intégré le puissant groupe français Saint-Gobain, leader mondial de la verrerie, et fabricant de vitres pour véhicules à travers sa filiale Saint-Gobain Sekurit). L’opération séduction a réussi puisque France Pare-Brise dispose aujourd’hui d’un réseau très dense de plus 440 centres répartis en France métropolitaine et les DOM, et réalise chaque année au moins 400 000 interventions. Ouvrir un franchise France Pare-brise : quel droit d’entrée ? Leurs équipes de techniciens réparent ou remplacent tous types de surfaces vitrées, le pare-brise évidemment frappé par un impact ou cassé, mais aussi les fenêtres latérales, la lunette arrière, ou les blocs optiques. La clientèle professionnelle (véhicules utilitaires, cars, engins de chantier et agricoles) et celle des particuliers (voiture de tourisme, camping-car, vans) sont pris en charge, quelle que soit la marque utilisée. Pour occuper le terrain, fédérer des compétences en lien avec la spécificité de chaque territoire, gagner de nouvelles parts de marché face à ses concurrents et renforcer ses partenariats avec les assurances qui proposent dans leurs formules des garanties optionnelles « bris de glace », France Pare-Brise recrute toujours plus de franchisés : leur adhésion au réseau est conditionnée au versement d’un droit d’entrée abordable (19 000 euros). Une fois membres du groupement, ces prestataires bénéficient de formations régulières qui leur permettent de se perfectionner et d’accéder à un savoir-faire éprouvé par 30 ans d’expérience. Face à une rapide évolution de l’offre et des besoins, l’enseigne su s’adapter en élargissant ses services à la réparation des voitures à domicile, les interventions sur le lieu de

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En démarrant une petite entreprise de transport, vous pouvez capitaliser sur les besoins des compagnies maritimes et des distributeurs sans payer les frais généraux comme les grandes entreprises. L’ouverture de votre propre petite société de transport nécessite de répondre à toutes les exigences commerciales de l’État, d’obtenir des licences et des permis du département des transports et de développer les bonnes connexions pour réussir. Définissez vos besoins La première démarche à faire sera surement de définir vos besoins, vos objectifs et vos attentes. Le choix est large en termes d’entreprises de transport. Vous pouvez opter pour une entreprise de transport de marchandises ou de passagers. Vous pouvez également opter pour une entreprise proposant des camions de déménagement. Dans tous les cas, quel que soit votre choix, sachez que vous devrez avoir des permis et un certificat, prouvant que vous pouvez parfaitement exercer la fonction. Quoi qu’il en soit donc, un certificat de capacité de transport est indispensable. Pour l’obtenir, la meilleure manière sera de suivre une formation auprès d’un centre agréé. Vous pouvez également opter pour d’autres solutions comme la demande d’équivalence des diplômes et des expériences. Pour en savoir plus, renseignez-vous auprès d’un service compétent. Une fois que tout est en règle et que vous avez l’autorisation de créer votre entreprise en tant que professionnel digne de ce nom, vous pouvez vous lancer dans les démarches administratives. Rédigez un plan d’affaires Rédiger un plan d’affaires qui détermine votre expérience, la mission de votre entreprise et les moyens qui vous permettront de gagner de l’argent est indispensable. Définissez les marges en tenant compte des coûts d’exploitation et de vos revenus. Projetez des budgets sur cinq à sept ans et discutez des stratégies de marketing pour l’acquisition de clients. Pour avoir plus d’idées, vous pouvez faire appel à un professionnel du domaine. Les conseillers aident les nouvelles entreprises à s’associer avec des partenaires de prêt bancaires locaux. En ce qui concerne la structure commerciale et inscription, discutez avec un avocat ou un comptable pour vous protéger, vous et vos actifs personnels, de toute responsabilité et poursuite. Les options les plus courantes sont les sociétés à responsabilité limitée. Établissez l’entreprise en enregistrant la structure et le nom de l’entreprise par l’intermédiaire de votre secrétaire d’État. Les taxes et l’inscription Payer les frais et obtenir les documents d’entité de l’État. Utilisez les informations sur ces documents pour obtenir un numéro d’identification fiscale fédéral de l’IRS. Votre entreprise a besoin de ce numéro pour utiliser les services bancaires, de crédit ou de paie. En tant que transporteur de fret, vous devez également demander l’enregistrement du transporteur unifié, en payant les frais annuels. Cette exigence fédérale est nécessaire pour les transporteurs, les courtiers et les transitaires. Pour les assurances et les cautions, avant de pouvoir demander les numéros appropriés du département de transport dans votre région, vous devez obtenir un cautionnement et une assurance responsabilité civile couvrant la responsabilité. Contactez un agent d’assurance des lignes commerciales pour examiner les exigences supplémentaires dans votre état. N’hésitez

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En moins de 10 ans, Instagram se trouve en tête de liste des réseaux sociaux les plus populaires au monde. Pour l’année 2019, ce réseau social compte plus de 1 milliards d’utilisateurs. Les marques ont intérêt à ne pas perdre de vue ce canal de communication pour engager davantage d’audiences. Comprendre la popularité d’Instagram Le réseau social Instagram a été créé en 2010. Depuis ses débuts, il a su démontrer la puissance des photos en tant que support de communication. Le rachat d’Instagram par Facebook depuis 2014 n’a fait qu’accroître la popularité du premier. Le réseau évolue constamment et permet dorénavant aux utilisateurs le partage facile de vidéos et de photos. Instagram a su se démarquer de ses concurrents en exploitant le pouvoir des images, qui sont comprises 60,000 fois plus rapidement par le cerveau que le texte. Autre point à noter est la compréhension de l’être humain des 80% de ce qu’ils voient contre 10% pour les sons. Seulement 20% retiennent rapidement les écrits dans un livre ou sur ordinateur. A la lumière de ces explications, les entreprises doivent comprendre l’importance d’Instagram. D’ailleurs, de plus en plus de marques exploitent le réseau pour booster leur notoriété. Evidemment, un tel objectif peut être difficile à atteindre sans l’aide d’une agence Instagram compétente. Par définition, l’intervention d’une telle agence se résume à asseoir la notoriété de l’entreprise sur ce réseau. Pourquoi préférer Instagram aux autres réseaux sociaux ? Appréhender la communication d’entreprise via Instagram c’est exploiter le réseau pour le développement de celle-ci. Ce réseau populaire est incontournable pour optimiser sa visibilité. S’illustrer en image permet à l’entreprise d’être au plus proche de ses clients potentiels. Par l’intermédiaire d’une agence Instagram, elle peut partager sur Instagram histoire et autres évènements en coulisse. Choisir Instagram c’est opter pour un média encore pur. Par rapport à Facebook, le réseau des images ne semble pas s’emballer pour les publicités. Bien entendu, celles-ci commencent à trouver leur place sur Instagram grâce aux promoteds posts. Néanmoins, le phénomène reste à un stade embryonnaire. C’est tout le contraire de Twitter qui enchaîne la promotion de la publicité à travers le promoted accounts, les promoted tweets, etc. Il faut ajouter à la caractéristique d’Instagram qui est avant tout une application mobile. Il est omniprésent dans le quotidien des mobinautes grâce aux appareils mobiles. De plus, c’est une application en phase avec son temps car attire particulièrement les jeunes. Instagram devient ainsi un support incontournable pour rafraîchir et agrandir le portefeuille client. Quelques chiffres pour illustrer la puissance d’Instagram Chaque jour, Instagram compte plus de 500 millions d’utilisateurs actifs dans le monde. Le nombre de ses utilisateurs mensuels s’élève à un milliard pour l’année 2019. En termes de durée d’utilisation, le réseau concurrence Facebook. Les sociaunotes passent en moyenne 58 minutes sur le réseau mère d’Instagram contre 53 minutes pour ce dernier. La France n’échappe pas à la fièvre Instagram. Plus de 10% des Français consultent chaque jour le réseau social. La part de la tranche d’âge 15-24 ans

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