Pour configurer sa boite mail, il est nécessaire de suivre différentes étapes.  Tout d’abord, choisir le type de serveur (POP3 ou IMAP) et se connecter à l’interface webmail du fournisseur.  Ensuite, renseigner les informations demandées telles que le nom d’utilisateur et le mot de passe pour accéder à la boite mail.  Une fois cette connexion établie, il est possible de personnaliser la boite mail avec votre propre signature ou un avatar.  Il est également important de paramétrer les règles et filtres afin de trier ses emails plus facilement. Une fois cela effectué, on peut enfin consulter sa boite mail et envoyer des mails depuis son navigateur internet. Pour avoir une présentation complète du service Yahoo Mail, cliquez ici : Yahoo Mail Quelle est la procédure à suivre pour bien configurer un compte de messagerie ? Pour bien configurer un compte de messagerie, il est capital de suivre une procédure précise. Tout d’abord, vous devez choisir le type de service que vous souhaitez utiliser : webmail ou client mail (tels que Outlook). Ensuite, vous devez entrer les informations nécessaires pour configurer votre compte : adresse e-mail et mot de passe. Une fois ces informations saisies, vous devrez configurer les serveurs d’envoi et de réception ainsi que le port à utiliser. Une fois cette étape terminée, vous devrez sélectionner l’option « Se connecter automatiquement » si disponible et enfin tester votre configuration en envoyant un message électronique à l’adresse email que vous avez créée. Quels sont les éléments à prendre en compte lors de la configuration d’un compte de messagerie ? Lorsque vous configurez un compte de messagerie, il est crucial de prendre en compte plusieurs éléments. Tout d’abord, le type de protocole à utiliser : IMAP ou POP. En fonction des besoins et du type d’appareil sur lequel vous souhaitez configurer votre compte (ordinateur, tablette ou smartphone), vous devrez choisir entre ces deux options.  Vous devrez également spécifier les paramètres d’accès au serveur SMTP (Simple Mail Transfer Protocol) pour envoyer des messages par e-mail, ainsi que les paramètres du serveur POP ou IMAP pour recevoir des courriels. Ces informations sont normalement fournies par votre fournisseur de services Internet (FAI).  Enfin, lorsque vous configurez votre compte de messagerie, veillez à ce que la configuration soit effectuée correctement et qu’elle tienne compte des exigences relatives à la sécurité et aux performances. Il est possible d’activer une authentification supplémentaire pour améliorer la sécurité et empêcher toute utilisation non autorisée du compte. De même, certaines configurations peuvent affecter les performances globales si elles ne sont pas optimisées correctement. Quelles sont les informations à fournir pour paramétrer une boite mail ? Pour paramétrer correctement une boite mail, il est capital de fournir les informations adéquates. Il faut en premier lieu connaître le type d’accès à la boite mail (IMAP ou POP). Ensuite, vous devez fournir l’adresse du serveur entrant et sortant, ainsi que leurs ports respectifs. Si votre boite mail nécessite une authentification par mot de passe, vous devrez renseigner ce dernier. Vous serez également amenés à fournir des informations supplémentaires si vous souhaitez configurer un accès sécurisé (SSL/TLS). Pour finir, il conviendra de vérifier les options disponibles pour le serveur (comme la taille

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La gestion fiscale est un aspect crucial de la stratégie d’une entreprise, qu’il s’agisse d’une petite entreprise ou d’une grande entreprise multinationale. Elle consiste à gérer les obligations fiscales de cette dernière pour minimiser les coûts fiscaux tout en respectant les lois et les règlements en vigueur. En effet, une gestion fiscale efficace aura un impact significatif sur la performance financière d’une entreprise. Par conséquent, ces dernières doivent accorder une attention particulière à la gestion fiscale et s’assurer qu’elle est intégrée à leur stratégie globale. Comprendre les enjeux fiscaux pour l’entreprise Les différentes catégories d’impôts applicables aux entreprises La fiscalité d’entreprise est un domaine complexe qui englobe plusieurs catégories d’impôts, notamment : l’impôt sur les sociétés (IS) : c’est l’impôt principal qui concerne toutes les sociétés. Il est calculé sur le bénéfice de l’entreprise ; la TVA : la taxe sur la valeur ajoutée est un impôt indirect qui s’applique sur la plupart des biens et services vendus par l’entreprise ; les taxes locales : elles sont perçues par les collectivités territoriales (communes, départements, régions) et varient selon la localisation de l’entreprise ; les taxes foncières : elles concernent les propriétaires d’immeubles (terrains, locaux professionnels) ; les contributions sociales : elles sont versées par les entreprises pour financer la Sécurité sociale et les régimes de retraite. Les enjeux financiers et stratégiques liés à la fiscalité des entreprises La fiscalité est un enjeu majeur pour la gestion financière et stratégique des entreprises. En effet, une gestion fiscale efficace permet : d’optimiser les charges fiscales en minimisant les impôts à payer ; de bénéficier de crédits d’impôts et de déficits fiscaux pour réduire les charges fiscales à venir ; de réaliser des économies d’impôts avec des mécanismes de planification fiscale durable ; de respecter les obligations fiscales et de minimiser les risques de contentieux fiscaux qui engendrent souvent des coûts financiers importants et qui portent atteinte à la réputation de l’entreprise. Les risques liés à une mauvaise gestion fiscale En effet, une défaillante gestion fiscale a des conséquences néfastes pour l’entreprise, notamment : des sanctions fiscales et des amendes sont habituellement très élevées ; des intérêts de retard et des pénalités de recouvrement qui alourdissent les charges fiscales ; des litiges fiscaux qui engendrent des coûts de justice importants et susceptible de durer plusieurs années ; des pertes de réputation qui affecteront l’image de l’entreprise auprès de ses partenaires commerciaux, de ses clients et de ses employés. L’utilité d’un accompagnement juridique à la propriété intellectuelle pour l’entreprise Tout d’abord, l’accompagnement juridique à la propriété intellectuelle est un service proposé par des avocats spécialisés. Il vise à aider les entreprises à protéger leurs actifs immatériels tels que les marques, les brevets, les dessins et modèles, les bases de données, les droits d’auteur, etc. Cliquez sur le lien suivant https://www.acbm-avocats.com/ si vous êtes à la recherche d’un cabinet d’avocat spécialisé dans ce domaine. En effet, ces actifs immatériels sont généralement des éléments clés de la stratégie de l’entreprise et leur protection est essentielle pour préserver sa position concurrentielle et sa valeur. En outre, un accompagnement juridique à la propriété intellectuelle contribuera à la valorisation de ces actifs immatériels. Comme effet, des avocats spécialisés pourront aider l’entreprise à mettre

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La formation en réalité virtuelle est un type de formation qui utilise les technologies de la réalité virtuelle pour offrir une expérience d’apprentissage immersive et interactive. Les participants portent un casque de réalité virtuelle qui les plonge dans un environnement virtuel et leur permet d’interagir avec des objets et des situations réalistes. La formation à la réalité virtuelle devient de plus en plus populaire dans de nombreux secteurs, notamment l’industrie, la santé, l’éducation et la sécurité. Elle permet aux employés de se familiariser avec des situations complexes ou dangereuses, sans avoir à expérimenter les risques réels. Chez Immersive Factory, les apprentis peuvent également répéter les actions et les procédures autant de fois qu’ils le souhaitent jusqu’à ce qu’ils soient à l’aise avec les compétences et les connaissances acquises. Cette dernière est de plus efficace pour stimuler l’engagement et la motivation de l’apprenant. Les environnements virtuels proposent des défis et des stimuli visuels et sonores qui rendent l’apprentissage plus intéressant et stimulant. Les apprentis peuvent par ailleurs recevoir un retour d’information immédiat sur leurs performances, cela leur permet de corriger rapidement leurs erreurs et d’améliorer leurs compétences. Intégrer la réalité virtuelle dans votre programme de formation professionnelle Introduire la réalité virtuelle dans un programme de formation professionnelle semble complexe, mais il est possible de le faire en suivant quelques étapes clés.  Évaluer les besoins en formation  Avant de commencer à intégrer la réalité virtuelle dans votre programme de formation professionnelle, évaluez les besoins de formation de vos apprentis et déterminez si la réalité virtuelle serait utile pour atteindre les objectifs de formation. Choisissez la bonne technologie  Il existe plusieurs options de réalité virtuelle disponibles sur le marché, il est donc important de choisir celle qui correspond le mieux à vos besoins de formation et à votre budget. Créer un contexte de qualité La qualité du contenu de votre formation est cruciale pour garantir une expérience d’apprentissage immersive et engageante. Il est essentiel de veiller à ce que le contenu soit réaliste, précis et adapté aux besoins de la formation. Fournir une formation adéquate  La formation des apprenants à l’utilisation de la réalité virtuelle est essentielle pour garantir une expérience d’apprentissage réussie. Il est important de fournir une formation adéquate afin que les apprenants puissent utiliser la technologie de manière efficace. Évaluer l’impact de la formation Cependant, il est majeur d’évaluer l’impact de la formation avec des outils d’évaluation pour déterminer si les objectifs de la formation ont été atteints et si l’expérience d’apprentissage a été positive pour les apprenants. Par conséquent, l’intégration de la réalité virtuelle dans un programme de formation professionnelle peut être bénéfique, de même pour les apprentis et pour l’entreprise. En suivant les étapes clés, vous pouvez créer une expérience d’apprentissage immersive et engageante qui permet aux apprenants d’acquérir des compétences et des connaissances précieuses. Les secteurs qui font appel aux formations en réalité virtuelle La formation en réalité virtuelle (RV) est utilisée dans de nombreux secteurs pour fournir une expérience d’apprentissage interactive et stimulante. Vous trouverez ci-dessous quelques exemples

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La création d’une entreprise peut être un processus complexe qui peut impliquer plusieurs étapes et formalités. Pour créer une entreprise, il est essentiel d’avoir une idée claire de votre projet ainsi que des connaissances approfondies sur les différents statuts juridiques, les formalités administratives et les responsabilités liées à chaque forme juridique. Si vous avez opté pour la création d’une SARL, vous devez suivre un certain nombre d’étapes clés pour réussir votre projet. Dans cet article, découvrez les étapes clés pour créer une SARL, de l’idée à l’immatriculation. Qu’est-ce qu’une SARL ? Le choix du statut juridique de l’entreprise dépend de nombreux facteurs tels que le type d’activité professionnelle, le nombre d’associés, le régime fiscal et social souhaité, le montant du capital et le formalisme voulu. Les avantages de la SARL sont nombreux. La responsabilité limitée des associés, la protection du patrimoine personnel, la fiscalité séparée de l’entreprise et de l’entrepreneur, la souplesse de rédaction des statuts et le choix du régime social des TNS. Cependant, il y a également des inconvénients à considérer comme : le coût des formalités de création ; les charges sociales élevées pour les dirigeants majoritaires ; la complexité des règles de fonctionnement ; la nécessité de nommer un commissaire aux comptes pour les SARL à partir d’un certain seuil de chiffre d’affaires. La SARL, Société à Responsabilité Limitée, est une des formes juridiques les plus populaires pour créer une entreprise en France. Elle est souvent choisie par les entrepreneurs qui veulent se lancer dans une activité professionnelle et qui ne souhaitent pas prendre de grands risques. Il vous sera plus facile de créer une entreprise en ligne grâce à Creaboite. Les avantages d’opter pour une SARL Tout d’abord, il est important de comprendre que la SARL est une personne morale, différente de la personne physique qui la dirige. Cela signifie que les dirigeants de la SARL ne sont pas responsables des dettes de l’entreprise sur leur patrimoine personnel, sauf en cas de faute de gestion. Le capital social minimum pour une SARL est de 1 euro. Pourtant, il est recommandé de prévoir un capital social plus important pour rassurer les créanciers et faciliter les apports futurs. Les apports peuvent être en numéraire, somme d’argent, en nature, en biens ou en compétences industrielles.  Les parts sociales représentent les parts du capital social détenues par chaque associé, qui peut être seul ou accompagné de plusieurs associés. Il y a également une souplesse au niveau de la rédaction des statuts pour les SARL. La SARL est soumise à l’impôt sur les sociétés, cela permet de séparer la fiscalité de l’entreprise de celle de l’entrepreneur. Les dividendes versés aux associés sont imposés au niveau de l’impôt sur le revenu. Il y a aussi une protection sociale pour les dirigeants associés qui bénéficient du régime social des travailleurs non salariés TNS. Quelle est la démarche à suivre pour créer une SARL ? La création d’une SARL peut être un processus complexe, mais en suivant ces étapes clés, vous pouvez vous assurer que votre entreprise est bien structurée et qu’elle fonctionne dans un cadre juridique solide. D’ailleurs, si vous

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La clause d’inaliénabilité est un dispositif juridique qui restreint la possibilité pour un actionnaire de céder ses titres dans une entreprise pendant une période déterminée. Elle est de plus en plus utilisée pour protéger les intérêts des actionnaires minoritaires, renforcer la stabilité financière de l’entreprise et garantir sa pérennité. La mise en place de la clause d’inaliénabilité est souvent motivée par des enjeux de gouvernance d’entreprise, notamment pour limiter les risques d’ingérence d’investisseurs hostiles ou pour faciliter la gestion des successions dans les entreprises familiales. Les différents types de clause d’inaliénabilité  La clause d’inaliénabilité est un outil juridique utilisé pour restreindre la possibilité de céder des titres d’une entreprise. Lire cet article pour en savoir plus sur la clause d’inaliénabilité. Les types de clause d’inaliénabilité  Il existe plusieurs types de clauses d’inaliénabilité, chacune avec des objectifs et des implications différentes. Voici les types de clause d’inaliénabilité : clause d’inaliénabilité temporaire : cette clause limite la possibilité de céder des titres pendant une période donnés. Elle est utilisée dans le cadre d’une opération de fusion-acquisition, par exemple, pour garantir que les actionnaires actuels restent impliqués dans l’entreprise durant une période critique ; clause d’inaliénabilité partielle : cette clause restreint la possibilité de céder une partie seulement des titres détenus par l’actionnaire concerné. Elle est utilisée pour garantir qu’un actionnaire conserve une participation minimale dans l’entreprise ; clause d’inaliénabilité totale : cette clause interdit complètement la cession des titres concernés. Elle est utilisée pour protéger les intérêts des actionnaires minoritaires ou pour garantir la stabilité de l’entreprise à long terme ; clause d’inaliénabilité réversible : l’actionnaire concerné a le droit de céder ses titres sous certaines conditions, par exemple, si l’entreprise est en difficulté financière ou si un événement majeur survient ; clause d’inaliénabilité croisée : cette clause impose des restrictions à la fois à l’actionnaire concerné et à un ou plusieurs autres actionnaires. Elle est utilisée pour garantir un équilibre dans la répartition des pouvoirs au sein de l’entreprise. Les limites de la clause d’inaliénabilité  La clause d’inaliénabilité comporte des limites importantes à considérer, elle limite la liquidité des actions concernées. En effet, si un actionnaire n’a pas l’occasion de vendre ses actions, il est difficile pour lui de récupérer sa mise ou de réaliser des plus-values. Cette restriction dissuade également les investisseurs potentiels d’acheter des actions de l’entreprise, cela réduit la demande pour ces actions sur le marché. La clause d’inaliénabilité est stipulée dans les statuts d’une société pour limiter la cession de parts ou d’actions à des tiers non souhaités par les associés. En outre, la clause d’inaliénabilité est contournable ou invalidée dans certaines situations. Par exemple, si un actionnaire vend ses actions pour des raisons financières personnelles, il est en mesure de faire appel à un tribunal pour lever la clause d’inaliénabilité. Certaines juridictions ne reconnaissent pas la validité de la clause d’inaliénabilité ou l’interprètent de manière différente. Les conditions de validité de la clause d’inaliénabilité sont strictement encadrées par le Code civil et la jurisprudence. La clause d’inaliénabilité limite la flexibilité de l’entreprise. Si un actionnaire n’a pas l’occasion de vendre ses actions, il sera difficile de restructuration de l’entreprise ou de collecte de

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Les automobilistes confrontés à ce type de dommages font, dans l’immense majorité de cas (66%), appel à un prestataire indépendant des concessionnaires pour résoudre le problème. Le marché « bris de glace » est en effet dominé par des réseaux spécialistes qui cherchent à développer un service de proximité, partout sur le territoire en s’appuyant sur des franchisés. Bris de glace : jusqu’à 10% de automobilistes touchés Les enseignes spécialisées dans la réparation de vitrages auto ont pris l’ascendant depuis une vingtaine d’années sur les concessionnaires et garages qui exercent une activité de maintenance plus globale. Il faut dire que demande est forte sur ce créneau : entre 7 et 10% des automobilistes subissent, au moins une fois dans l’année, un bris de glace sur leur véhicule. Afin de renforcer leur maillage territorial en régions et déployer un service de proximité à l’échelle des métropoles et des villes moyennes en lien avec les zones rurales, ces entreprises bâtissent un réseau composé d’ateliers locaux. A Lyon, Saint-Etienne, Grenoble ou dans de plus petites unités urbaines comme Chambéry, Bourg-en-Bresse ou Aurillac, un prestataire indépendant s’est déjà engagé auprès de France Pare-Brise pour devenir franchisé pare brise, au sein de ce réseau national. Créée il y a presque trente ans par une quinzaine de professionnels spécialisés dans la réparation d’impacts sur les parties vitrées des automobiles et/ou leur remplacement, ce groupe s’appuie depuis 2009 sur le modèle de la franchise pour accélérer son développement (en 2016, la marque a intégré le puissant groupe français Saint-Gobain, leader mondial de la verrerie, et fabricant de vitres pour véhicules à travers sa filiale Saint-Gobain Sekurit). L’opération séduction a réussi puisque France Pare-Brise dispose aujourd’hui d’un réseau très dense de plus 440 centres répartis en France métropolitaine et les DOM, et réalise chaque année au moins 400 000 interventions. Ouvrir un franchise France Pare-brise : quel droit d’entrée ? Leurs équipes de techniciens réparent ou remplacent tous types de surfaces vitrées, le pare-brise évidemment frappé par un impact ou cassé, mais aussi les fenêtres latérales, la lunette arrière, ou les blocs optiques. La clientèle professionnelle (véhicules utilitaires, cars, engins de chantier et agricoles) et celle des particuliers (voiture de tourisme, camping-car, vans) sont pris en charge, quelle que soit la marque utilisée. Pour occuper le terrain, fédérer des compétences en lien avec la spécificité de chaque territoire, gagner de nouvelles parts de marché face à ses concurrents et renforcer ses partenariats avec les assurances qui proposent dans leurs formules des garanties optionnelles « bris de glace », France Pare-Brise recrute toujours plus de franchisés : leur adhésion au réseau est conditionnée au versement d’un droit d’entrée abordable (19 000 euros). Une fois membres du groupement, ces prestataires bénéficient de formations régulières qui leur permettent de se perfectionner et d’accéder à un savoir-faire éprouvé par 30 ans d’expérience. Face à une rapide évolution de l’offre et des besoins, l’enseigne su s’adapter en élargissant ses services à la réparation des voitures à domicile, les interventions sur le lieu de

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Il existe sur le marché boursier plusieurs fonds d’investissement, à l’instar des ETF. Les ETF (Exchange Traded Funds) sont des instruments financiers de gestion passive mis à disposition des investisseurs à travers des sociétés de gestion spécialisée. Ils sont à l’image de plusieurs autres placements collectifs et présentent beaucoup d’avantages. Quels sont les avantages que présentent les ETF pour l’investissement ? Des prix bas Les ETF sont de véritables opportunités pour investir dans divers secteurs porteurs. Ils ne nécessitent pas de gros capitaux. À la différence des fonds de placement classiques, lors de l’achat ou la vente des ETF, aucuns frais d’émission ou de reprise ne vous seront demandés. Avec les ETF, vous aurez droit à des frais de gestion annuels plus bas (0,5 % généralement) que ceux des fonds classiques. Ils vous assurent encore plus de trente places boursières de par le monde et trois niveaux de prix selon le type de votre compte. Un processus assez simple et flexible Les ETF offrent une certaine facilité aux investisseurs pour effectuer leurs opérations. Vous pouvez donc investir dans les ETF à travers le Plan Epargne Action des ETF ou par un de vos comptes titres. Durant les heures d’ouverture de la bourse, vous pouvez acheter et vendre des actions ETF en une seule fois durant les heures d’ouverture de la bourse. Les ETF sont également des instruments de placement liquides tout comme les actions. Les prestataires d’ETF doivent avoir au moins des teneurs de marchés. Celles-ci veillent à obtenir davantage de liquidités pour minimiser les risques. Sécurité et transparence élevées C’est la loi sur les placements collectifs de capitaux qui régit aussi bien les ETF que tous les fonds de placement classiques. Cette loi protège le capital de l’investisseur. Les risques de contrepartie sont moindres avec les ETF, hormis les ETF répliqués de manière synthétique qui par contre peuvent exposer à un risque de contrepartie limité. En matière de transparence, sachez que la plupart des prestataires d’ETF font une publication de la composition de leur portefeuille chaque jour sur leurs sites internet. Les fonds classiques publient par contre chaque trimestre pour garder secret leur portefeuille. Une diversification avérée Avec les ETF, vous avez la possibilité d’investir dans diverses actions à la fois. Ce genre d’investissement permet à l’investisseur de diminuer les risques de perte liés à l’achat d’actions de façon séparée. Vous pouvez constituer un patrimoine à long terme avec les fonds de placement ETF. À travers les nombreux avantages des ETF présentés dans cet article, vous pouvez investir sans trop vous préoccuper des risques.

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Face à la crise sanitaire doublée d’une crise économique, le gouvernement souhaite encourager l’accès des petites et moyennes entreprises à la commande publique. La révision des seuils de procédure permet justement de développer les marchés à procédure adaptée (MAPA), plus accessibles grâce à des procédures simplifiées. Les procédures de passation des marchés publics Dans la commande publique, on distingue deux procédures de passation : Les marchés à procédure formalisée sont encadrés par le droit français et le droit européen : ils sont soumis à des règles de procédure et de publicité telles que détaillées dans le Code des marchés publics  ; Dans un marché à procédure adaptée (MAPA), l’acheteur définit librement les modalités de passation du marché. Néanmoins, il doit respecter les principes fondamentaux de la commande publique et « veiller à choisir une offre répondant de manière pertinente au besoin, à faire une bonne utilisation des deniers publics et à ne pas contracter systématiquement avec un même prestataire lorsqu’il existe une pluralité d’offres potentielles susceptibles de répondre au besoin. » (art. 28 du Code des marchés publics). Les acheteurs publics choisissent le type de procédure de passation en fonction du montant du marché et de son objet (fournitures, services, travaux). Les seuils des marchés publics Les seuils européens définis au 1er janvier 2020 Au 1er janvier 2020, les seuils de procédures formalisées étaient fixés à : 139 000 € HT pour les marchés publics de fournitures ou de services de l’État ; 214 000 € HT pour les marchés publics de fournitures ou de services des collectivités locales ; 5 350 000 € HT pour les marchés publics de travaux. Le cas particulier des MAPA inférieurs à 40 000 € L’article R. 2122-8 du code de la commande publique fixe à 40 000 € HT le seuil de dispense de mise en concurrence pour les prestations de fournitures, de services ou de travaux. En conséquence, pour les achats d’un montant inférieur à ce seuil, l’acheteur peut conclure un marché sans publicité ni mise en concurrence préalables. Il peut ainsi s’adresser directement à une ou plusieurs entreprise(s). Les seuils momentanément réajustés Compte tenu de la crise économique engendrée par la crise sanitaire, les seuils communautaires de dispense de publicité et de mise en concurrence ont été révisés : Initialement fixé à 40 000 € HT, le seuil a momentanément été relevé à 70 000 € pour les commandes de travaux et à 100 000 € pour la fourniture de denrées alimentaires dans un décret du 22 juillet 2020 ; La loi ASAP, promulguée le 7 décembre 2020, prévoit un relèvement temporaire du seuil à 100 000 euros HT jusqu’au 31 décembre 2022 pour les marchés de travaux. L’augmentation des seuils vise à élargir l’accès des marchés publics aux petites et moyennes entreprises (PME), particulièrement durement touchées par la crise. L’aubaine des MAPA pour les TPE-PME Grâce à ces nouveaux seuils, les marchés à procédure adaptée sont en nette hausse cette année. Il s’agit là d’une opportunité pour les TPE et les PME qui peuvent désormais accéder à des marchés de plus grande ampleur, économiquement attractifs, tout en bénéficiant de

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La crypto monnaie est un sujet qui n’est pas encore très connu par de nombreux professionnels. Pourtant, on en parle souvent et un peu partout. De quoi s’agit-il ? Dans cet article, vous allez apprendre tout ce qu’il y a à savoir sur la crypto-monnaie. Il en est ainsi de ses avantages et de son fonctionnement. Comprendre le principe de la crypto-monnaie Pour mieux vous informer sur la crypto-monnaie, le site blockinfos.com vous sera de grande utilité. Il s’agit d’une monnaie numérique, soit une monnaie virtuelle. La crypto-monnaie ne se caractérise pas par des supports physiques. Il en est ainsi des pièces, des billets, des paiements par chèque, de la carte bancaire, etc. Quand on parle de crypto-monnaie, on peut parler de la monnaie cryptographique ou du système de paiement de pair à pair. La crypto-monnaie est une monnaie alternative. Elle n’a donc pas un cours légal dans les pays du monde. Sa valeur ne peut être indexée sur le cours de l’or ni sur les cours des devises classiques. À savoir également que la crypto-monnaie n’est pas régulée par un organe central ou des institutions financières. Cela veut dire que cette monnaie numérique n’existe pas auprès de la Banque Centrale et il n’existe pas de banque centrale pour ce type de monnaie. Les avantages de la crypto-monnaie Il existe toutes sortes d’avantages avec l’utilisation de la crypto-monnaie. Au premier abord, elle est accessible et ouverte pour tout le monde. Toutes les personnes intéressées peuvent l’utiliser. Il s’agit également d’une monnaie numérique dont la prise en main est simple. Il suffit d’avoir un bon accès à Internet. Ainsi, vous pourrez démarrer votre portefeuille. La crypto-monnaie appartient à un système de décentralisation. Ce qui implique que la monnaie virtuelle n’est pas soumise au contrôle des organes gouvernementaux. De plus, tous les types de communication ont les mêmes droits, c’est-à-dire qu’ils sont égaux. Il est intéressant d’utiliser la crypto-monnaie parce qu’elle propose un coût de transaction abordable alors qu’elle est rapide. Elle est sous le principe de P2P, d’où le prix de maintenance du réseau et le prix du transfert sont réduits. La crypto-monnaie est sécuritaire en matière de transaction. Elle est insensible à l’inflation, car elle est dotée de mécanisme spécifique pour la prévenir. Le fonctionnement de la crypto-monnaie Pour fabriquer de la crypto monnaie, il y a besoin de mineurs. Ce sont les personnes qui vont miner une crypto monnaie pour que le Blockhain ne soit pas figé. Lors d’une transaction sur le Blockhain, le mineur aura pour rôle de la confirmer la monnaie. La transaction en question va être immédiatement diffusée sur le réseau. La transaction peut être confirmée lorsque le mineur trouve le produit d’une fonction cryptographique qui connecte le nouveau bloc à son prédécesseur. C’est la preuve de travail à considérer. Dès que la transaction est validée, elle va former un nouveau bloc de données pour le registre.

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Plusieurs millions de personnes dans le monde sont membres d’Instagram en ce moment. Ce réseau social permet à beaucoup d’utilisateurs d’être connectés en temps réel et de communiquer. Le but est d’être en relation à tout moment et à n’importe quel endroit. C’est un des outils de communication le plus utilisés dans le monde et un moyen publicitaire très efficace. Instagram : un outil de communication Les utilisateurs d’Instagram pour échanger et communiquer par message, appel vocal ou appel vidéo. Il y a aussi le partage de photos et de vidéos sur les pages. Ce réseau social est l’un des plus populaires. Instagram est devenu un outil de communication de plus en plus utilisé que ce soit par les particuliers ou les professionnels. Pour l’utiliser, il suffit de se connecter sur Internet et de créer un compte. L’existence de nombreux appareils numériques permettent aussi cette vulgarisation de ce réseau social. On peut se connecter à cette plateforme via une tablette, un téléphone intelligent, un ordinateur de bureau ou un laptop. On peut accéder à cette application sociale et bénéficier d’un compte personnel et privé par souscription. On remplit le formulaire d’inscription d’Insta et le tour est joué. Instagram : un moyen de communication pour les particuliers et les professionnels Instagram est une plateforme sociomédiatique. Elle est de plus en plus utilisée par un nombre considérable de personne dans le monde. Ces utilisateurs l’utilisent pour diverses raisons, par exemple pour communiquer avec ses proches. Les professionnels s’en servent différemment notamment pour faire de la publicité d’une marque ou d’un logo. On peut utiliser Insta à usage professionnel notamment mise en relation professionnelle, partage de liens, la diffusion d’une image de marque ou encore le partage de documents. Il peut s’agir d’un partage de contenus, de vidéos ou de photographies. De plus, ce réseau social contient un espace où on peut proposer les produits à vendre. S’il existe des personnes intéressées, elles peuvent faire un partage. Dans les médias sociaux, les commentaires, les appréciations et les partages sont des éléments mis en avant. Instagram : un outil efficace d’une agence de communication Instagram est l’un des meilleurs outils pour une diffusion publicitaire, qui permet une excellente accessibilité et disponibilité. Ce réseau social a l’avantage d’accroître la notoriété de la marque. Cette dernière peut tout à fait créer sa propre réputation sur Instagram et communiquer directement avec les clients. Par la suite, il est possible d’augmenter le trafic d’un site web. Des études montrent qu’Instagram fait partie des supports les plus efficaces pour découvrir les produits d’une entreprise. Ce réseau social permet aussi de créer de la proximité. Insta facilite la prospection, l’acquisition et le référencement. Pour cela, l’agence web doit partager continuellement un contenu de qualité, original et attractif afin d’attirer beaucoup d’internautes. En investissant dans la publicité sur Instagram, les agences web peuvent trouver des nouveaux collaborateurs qui sont intéressés par l’activité et par l’esprit de la société.

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