Pour financer leurs créances clients, gérer leurs impayés ou financer leurs divers projets, les entreprises sont souvent amenées à demander un crédit. Dans l’objectif de garantir l’aboutissement de leur dossier, les dirigeants peuvent faire appel à des courtiers spécialisés dans le financement d’entreprise, qui vont les accompagner et les conseiller dans leurs démarches.

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Le défaut de paiement n’est jamais à prendre à la légère. Il mine peu à peu la trésorerie de l’entreprise. De plus, lorsque les dettes de plusieurs clients s’accumulent, elles amènent le dirigeant à mettre la clé sous la porte. Pourtant, cette situation est parfois imprévisible d’où l’importance de se prémunir des risques. La solution ? L’assurance-crédit. En quoi consiste l’assurance-crédit ? Il s’agit d’une offre d’assurance qui protège l’entreprise vis-à-vis des mauvais payeurs. Cette solution de gestion de poste clients préserve la société par rapport aux pertes générées par le non règlement de factures. Cette garantie s’adresse aux entreprises de toutes tailles. Ce sont par ailleurs les petites entreprises qui sont le plus souvent victimes de défauts de paiement. Ce type d’assurance est utilisé pour garantir les créances financées suite à un affacturage. Le montant de l’assurance sera défini en tenant compte de l’encours dans le contrat. Cependant, il est impossible d’activer cette protection en cas de retards de paiement. L’entreprise peut profiter de différents services à travers une assurance-crédit dont la prévention du risque d’impayé. A cela s’ajoutent la gestion des factures non payées et la surveillance des clients. Ce dernier service correspond à une information sur la solvabilité financière des clients et prospects. Quels sont les avantages de cette offre ? L’assurance-crédit préserve l’entreprise des risques de non-paiement des créances et lui évite des problèmes de trésorerie. Le défaut de paiement constitue un grave problème pour beaucoup d’entreprises. Près de 25% d’entre elles ont sombré dans la faillite à la suite des défauts de paiement accumulés. Cette offre permet aussi à son bénéficiaire de limiter les potentielles pertes, car l’entreprise et l’assureur sont amenés à se partager les clauses et les franchises grâce à une assurance-crédit. En informant régulièrement son client sur la situation de ses clients, l’assureur aide son client à éviter les mauvais payeurs. La souscription à cette assurance sera en faveur d’une entreprise qui souhaite profiter d’un financement auprès des banques. Ces dernières acceptent de financer les structures avec un portefeuille suffisamment sécurisé. Les solutions et produits associés à l’assurance-crédit Pour les PME, les solutions et garanties modulaires permettent de garantir la solvabilité permanente des clients. En cas de problème, l’entreprise bénéficie de l’intervention d’experts en la matière pour le recouvrement des factures. Pour les TPE, des solutions forfaitaires sont proposées pour une couverture immédiate et automatique des clients jusqu’à 60%. Dans certains cas, ce taux peut passer jusqu’à 90% sous réserve de conditions. Les grands comptes profitent d’un support Premium avec les solutions d’assurance-crédit. Grâce à cet outil, ils pourront réaliser un suivi adéquat des contrats. Cela dit, cette catégorie rencontre moins souvent de problème de défaut de paiement. Différentes observations ont d’ailleurs montré que les grands comptes sont souvent des mauvais payeurs. Il est important de distinguer 4 offres par rapport aux produits affiliés à l’assurance-crédit. L’affacturage garantit à l’entreprise un meilleur financement de ses factures, mais il est important de l’associer avec la délégation d’assurance-crédit. Le Reverse factoring, le Single Risk

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En France, les jeunes entrepreneurs en quête de domiciliation disposent désormais de nombreuses solutions. Centres d’affaires, couveuses, incubateurs, les structures d’hébergements ne cessent de multiplier. Parmi ces organismes, les porteurs de projet peuvent aussi lancer leurs activités dans une pépinière d’entreprises. Location de bureau à moindre coût, accompagnement, formations, partage d’expériences, devenir « pépin » présente plusieurs avantages. Mais avant d’intégrer un établissement, il convient de bien s’informer. La pépinière d’entreprises : une structure d’hébergement pour les startups Salariés en reconversion professionnelle, jeunes diplômés, femmes au foyer, séniors, l’entrepreneuriat intéresse de nombreux Français. Il s’agit d’une solution pour devenir autonome et de réaliser ses rêves. Mais bien qu’elle soit passionnante, l’aventure entrepreneuriale n’est pas toujours facile. Recherche du concept, demande de financement, formalités administratives, les entrepreneurs doivent passer par plusieurs étapes. D’ailleurs, la recherche du local compte parmi les démarches les plus difficiles. Si beaucoup font le choix de travailler chez eux pour des raisons économiques, le travail à domicile entraine toutefois l’isolement. Sans compter que la loi interdit le recrutement de personnel. C’est pour cela que de nombreux porteurs de projets décident d’intégrer une pépinière pour démarrer une activité entrepreneuriale. Il s’agit d’une structure d’hébergement destinée aux jeunes entreprises, soit celles qui ont moins de 3 ans. Elle propose, pour un coût attractif, un local professionnel ainsi que des salles réunion. D’autres services annexes sont inclus dans le tarif de location de bureau tels que l’utilisation des fournitures de bureau ainsi que l’accès à l’espace coworking et à la cafétéria. A titre d’exemple, visitez le site d’une agence de location bureau à Saint Etienne de Montluc, pour consulter les offres de ce type d’établissement. Au-delà des avantages matériels, les pépinières séduisent aussi les entrepreneurs pour de multiples raisons. La pépinière d’entreprises : plus qu’une simple structure d’hébergement Le principal avantage d’intégrer une pépinière d’entreprises réside évidemment dans la possibilité de travailler dans un local professionnel à moindres coûts. Le prix de la location est 30 à 40% moins cher que les tarifs proposés sur le marché. Ce qui aide à réduire considérablement les charges. Mis à part cela, cette structure participe également à l’épanouissement des entrepreneurs. Elle offre un accompagnement personnalisé à chacun de ses membres afin de booster la création d’entreprises. Des séances de formation sont programmées à intervalles réguliers pour permettre à tout un chacun d’améliorer leurs compétences managériales, commerciales ou encore financières. Les cours seront dispensés par des formateurs spécialisés ou par des dirigeants expérimentés. Pour mettre fin à l’isolement des porteurs de projet, les pépinières organisent régulièrement des forums ou des soirées entrepreneuriales pour favoriser les rencontres et les partages d’expériences. Bien sûr, avant d’intégrer ce type de structure, il convient d’abord se renseigner sur les différentes conditions. Si la plupart sont généralistes, certains établissements peuvent être sectoriels. En d’autres termes, ils hébergent uniquement les entreprises œuvrant dans un secteur d’activité particulier, tels que l’écologie, l’informatique ou la santé.

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La majorité des entrepreneurs qui décident d’ouvrir une officine utilisent les services des experts des transactions de pharmacies afin de réussir à mener à bien leur projet. Grâce à leur savoir-faire, ils peuvent trouver les meilleures sources de financement pour ouvrir ou reprendre une officine dans leur région. Afin d’ouvrir une officine, la plupart des entrepreneurs ont besoin d’un financement extérieur. Avant de vous lancer sur ce marché en pleine croissance, il est recommandé d’explorer en amont les tendances du secteur. Les experts des transactions de pharmacies peuvent vous aider à trouver les ressources financières dont vous avez besoin pour réussir votre projet. Déterminer le montant de l’apport personnel Un grand nombre d’entrepreneurs décident de collaborer avec des spécialistes des transactions de pharmacies afin de réussir à financer leur projet. Dans la plupart des situations, le taux moyen retenu d’apport personnel ne doit pas être inférieur à 20% de la valeur globale de l’acquisition. L’apport personnel des investisseurs se situe d’habitude entre 20 et 40% de l’acquisition. Les professionnels de la filière qui possèdent plusieurs années d’expérience dans le domaine vous recommandent de ne pas utiliser dès le début toutes vos économies, car vous en aurez certainement besoin plus tard pour divers travaux de rénovation ou de décoration. Choisir le prêt bancaire ou le crédit vendeur ? Les pharmaciens qui décident d’ouvrir leur propre officine ont aujourd’hui la possibilité de bénéficier de divers financements extérieurs pour se lancer sur ce marché en plein essor. En fonction du montant de l’affaire acquise, ils peuvent obtenir des financements sous la forme d’un crédit vendeur ou d’un prêt bancaire. Les crédits bancaires se font d’habitude sur une dizaine d’années. En règle générale, les banquiers signent les contrats de financement sur une durée soit de 12 ans, soit de 15 ans. Il faut préciser que vous pouvez obtenir également un crédit vendeur. Les experts de POD vous conseillent pour que vous puissiez choisir le meilleur financement tout en prenant en considération les particularités de votre projet d’investissement, le montant et la rentabilité de l’acquisition envisagée. Depuis 1989, les spécialistes diplômés et qualifiés de POD ont aidé de nombreux pharmaciens à acheter, à vendre ou à reprendre une officine partout en France. Sur leur site Internet, vous avez la possibilité de vous renseigner davantage sur leur savoir-faire et sur les services qu’ils vous proposent.

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Avant de se lancer dans un projet de création d’entreprise, il est important de bien se préparer. Plusieurs étapes sont nécessaires avant que votre entreprise puisse ouvrir ses portes. Créer une entreprise est un projet à long terme, qui ne peut pas être improvisé. En plus de la conception des produits et services de votre entreprise, vous devrez respecter plusieurs réglementations. Ainsi, vous devrez réaliser plusieurs démarches, dont le choix du statut juridique de votre entreprise et son enregistrement, qui sont indispensables pour démarrer votre activité. Les étapes nécessaires pour la création d’une entreprise La première étape de la création d’une entreprise est l’élaboration d’un business plan. Ce document est fondamental pour identifier clairement vos clients cibles ainsi que votre domaine d’activité. Si vous recherchez des solutions de financement, ce document vous permettra de vendre votre projet aux investisseurs. La business plan reprend les points forts de votre projet et sa capacité à générer des profits, notamment grâce à une étude de marché. Une fois le projet validé et le financement trouvé, il vous faudra également choisir la forme juridique. Ce choix est très important, car le régime fiscal et les obligations des dirigeants et de la société sera déterminée par la forme juridique. Lors de cette étape, il est préférable de faire appel à un conseiller, de préférence un expert-comptable. Vous devrez ensuite procéder à la réalisation des formalités nécessaires à l’enregistrement de votre entreprise, notamment à la rédaction des statuts de la société. Les statuts sont concrétisés par un document qui décrit le fonctionnement de l’entreprise, notamment en ce qui concerne les obligations des actionnaires. Une fois ces démarches accomplies, vous devez immatriculer l’entreprise auprès du registre du commerce et des sociétés ainsi que dans le bulletin officiel des annonces civiles et commerciales. C’est une obligation qui permettra à votre société d’exister en tant que personne juridique. La réalisation de ces formalités peut être confiée à un professionnel expert. L’importance du kbis Une fois ces étapes finalisées, vous obtiendrez votre k-bis. Ce document officiel sera la carte d’identité de l’entreprise. Le k-bis est un document qui prouve l’existence juridique d’une entreprise commerciale ou d’une société en France. Le k-bis n’a pas de durée limite concernant sa validité sauf si cela est demandé. Cependant, si l’entreprise change de capital social, de dirigeant ou d’adresse de son siège social, vous devrez obtenir un kbis de moins de 3 mois. Des sites spécialisés permettent de disposer d’un extrait de k-bis directement en ligne. Il se présente sous la forme d’un extrait du registre du commerce et des sociétés. De plus, le kbis permettra servira à la société pour l’achat de marchandises et notamment pour pouvoir répondre à des appels d’offres. Par conséquent, l’obtention du k-bis vous permettra de débuter votre activité.

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Le nombre de travailleurs indépendants et de TPE tend à augmenter en France. Pour peu que l’on ait le financement et une idée innovante, il est préférable de monter son affaire pour assurer une carrière stable et un avenir financier serein. Cependant, il est essentiel de savoir gérer son activité pour réussir. Quelques démarches administratives pour monter son affaire Monter une boite ou se lancer à son propre compte n’est pas une affaire simple à gérer. Il est nécessaire de connaître les démarches et remplir toutes les conditions avant de pouvoir exercer légalement son activité. Il sera également question de s’enregistrer aux greffes des registres des commerces et des industries. Pour cela, il faut présenter plusieurs documents, dont l’étude de marché, le plan prévisionnel,  le numéro de NIF et de stat et  le RIB professionnel. Il est également requis de demander un diagnostic des locaux pour s’assurer du respect des normes d’hygiène et définir le statut de la société. Pour toutes ces démarches, les conseils avisés d’un expert comptable à Sautron, par exemple, ne seraient pas du luxe. Un cabinet  de comptable propose également des prestations d’accompagnement des TPE/PME au début de leur activité afin de leur donner toutes les cartes en main pour commencer l’exercice du bon pied. Une bonne gestion comptable en toute simplicité : comment faire ? Pour ceux qui ont déjà entamé les procédures et obtenu facilement les autorisations d’ouverture, les experts proposent un tout nouveau genre de pack. Il s’agit de l’externalisation de la gestion comptable de l’entreprise. Externaliser est devenu plus qu’une tendance aujourd’hui. On confie aux prestataires externes la gestion des données informatiques et d’autres missions. Les sociétés de tous domaines confondus et de toutes les tailles demandent en général un traitement offshore de leur comptabilité, ayant pour but  de gagner du temps et d’économiser sur les frais de gestion. Avec un cabinet extérieur, on n’a plus besoin d’avoir des grands locaux et d’embaucher un comptable. Maintenant, on ne parle plus de contrats de travail en CDI ou en CDD, qui sont soumis à des lois sociales drastiques. Une simple prestation de service suffit pour tenir les livres, gérer les devis, assurer un bon suivi des crédits et préparer les audits. De plus, certains logiciels facilitent les vérifications en cas de besoin.

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