La clause d’inaliénabilité est un dispositif juridique qui restreint la possibilité pour un actionnaire de céder ses titres dans une entreprise pendant une période déterminée. Elle est de plus en plus utilisée pour protéger les intérêts des actionnaires minoritaires, renforcer la stabilité financière de l’entreprise et garantir sa pérennité. La mise en place de la clause d’inaliénabilité est souvent motivée par des enjeux de gouvernance d’entreprise, notamment pour limiter les risques d’ingérence d’investisseurs hostiles ou pour faciliter la gestion des successions dans les entreprises familiales. Les différents types de clause d’inaliénabilité  La clause d’inaliénabilité est un outil juridique utilisé pour restreindre la possibilité de céder des titres d’une entreprise. Lire cet article pour en savoir plus sur la clause d’inaliénabilité. Les types de clause d’inaliénabilité  Il existe plusieurs types de clauses d’inaliénabilité, chacune avec des objectifs et des implications différentes. Voici les types de clause d’inaliénabilité : clause d’inaliénabilité temporaire : cette clause limite la possibilité de céder des titres pendant une période donnés. Elle est utilisée dans le cadre d’une opération de fusion-acquisition, par exemple, pour garantir que les actionnaires actuels restent impliqués dans l’entreprise durant une période critique ; clause d’inaliénabilité partielle : cette clause restreint la possibilité de céder une partie seulement des titres détenus par l’actionnaire concerné. Elle est utilisée pour garantir qu’un actionnaire conserve une participation minimale dans l’entreprise ; clause d’inaliénabilité totale : cette clause interdit complètement la cession des titres concernés. Elle est utilisée pour protéger les intérêts des actionnaires minoritaires ou pour garantir la stabilité de l’entreprise à long terme ; clause d’inaliénabilité réversible : l’actionnaire concerné a le droit de céder ses titres sous certaines conditions, par exemple, si l’entreprise est en difficulté financière ou si un événement majeur survient ; clause d’inaliénabilité croisée : cette clause impose des restrictions à la fois à l’actionnaire concerné et à un ou plusieurs autres actionnaires. Elle est utilisée pour garantir un équilibre dans la répartition des pouvoirs au sein de l’entreprise. Les limites de la clause d’inaliénabilité  La clause d’inaliénabilité comporte des limites importantes à considérer, elle limite la liquidité des actions concernées. En effet, si un actionnaire n’a pas l’occasion de vendre ses actions, il est difficile pour lui de récupérer sa mise ou de réaliser des plus-values. Cette restriction dissuade également les investisseurs potentiels d’acheter des actions de l’entreprise, cela réduit la demande pour ces actions sur le marché. La clause d’inaliénabilité est stipulée dans les statuts d’une société pour limiter la cession de parts ou d’actions à des tiers non souhaités par les associés. En outre, la clause d’inaliénabilité est contournable ou invalidée dans certaines situations. Par exemple, si un actionnaire vend ses actions pour des raisons financières personnelles, il est en mesure de faire appel à un tribunal pour lever la clause d’inaliénabilité. Certaines juridictions ne reconnaissent pas la validité de la clause d’inaliénabilité ou l’interprètent de manière différente. Les conditions de validité de la clause d’inaliénabilité sont strictement encadrées par le Code civil et la jurisprudence. La clause d’inaliénabilité limite la flexibilité de l’entreprise. Si un actionnaire n’a pas l’occasion de vendre ses actions, il sera difficile de restructuration de l’entreprise ou de collecte de

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Il existe sur le marché boursier plusieurs fonds d’investissement, à l’instar des ETF. Les ETF (Exchange Traded Funds) sont des instruments financiers de gestion passive mis à disposition des investisseurs à travers des sociétés de gestion spécialisée. Ils sont à l’image de plusieurs autres placements collectifs et présentent beaucoup d’avantages. Quels sont les avantages que présentent les ETF pour l’investissement ? Des prix bas Les ETF sont de véritables opportunités pour investir dans divers secteurs porteurs. Ils ne nécessitent pas de gros capitaux. À la différence des fonds de placement classiques, lors de l’achat ou la vente des ETF, aucuns frais d’émission ou de reprise ne vous seront demandés. Avec les ETF, vous aurez droit à des frais de gestion annuels plus bas (0,5 % généralement) que ceux des fonds classiques. Ils vous assurent encore plus de trente places boursières de par le monde et trois niveaux de prix selon le type de votre compte. Un processus assez simple et flexible Les ETF offrent une certaine facilité aux investisseurs pour effectuer leurs opérations. Vous pouvez donc investir dans les ETF à travers le Plan Epargne Action des ETF ou par un de vos comptes titres. Durant les heures d’ouverture de la bourse, vous pouvez acheter et vendre des actions ETF en une seule fois durant les heures d’ouverture de la bourse. Les ETF sont également des instruments de placement liquides tout comme les actions. Les prestataires d’ETF doivent avoir au moins des teneurs de marchés. Celles-ci veillent à obtenir davantage de liquidités pour minimiser les risques. Sécurité et transparence élevées C’est la loi sur les placements collectifs de capitaux qui régit aussi bien les ETF que tous les fonds de placement classiques. Cette loi protège le capital de l’investisseur. Les risques de contrepartie sont moindres avec les ETF, hormis les ETF répliqués de manière synthétique qui par contre peuvent exposer à un risque de contrepartie limité. En matière de transparence, sachez que la plupart des prestataires d’ETF font une publication de la composition de leur portefeuille chaque jour sur leurs sites internet. Les fonds classiques publient par contre chaque trimestre pour garder secret leur portefeuille. Une diversification avérée Avec les ETF, vous avez la possibilité d’investir dans diverses actions à la fois. Ce genre d’investissement permet à l’investisseur de diminuer les risques de perte liés à l’achat d’actions de façon séparée. Vous pouvez constituer un patrimoine à long terme avec les fonds de placement ETF. À travers les nombreux avantages des ETF présentés dans cet article, vous pouvez investir sans trop vous préoccuper des risques.

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Le digital est devenu un grand centre d’intérêt pour les entreprises durant ces dernières années. Faisant preuve de succès en termes financiers, les start-ups commencent à convaincre, surtout ceux dans le marketing. Beaucoup ont de belles idées, mais la suite peut s’avérer difficile à réaliser. Très peu savent percer dans l’instabilité du monde virtuel, notamment en raison de la concurrence qui y est de plus en plus importante. Selon les statistiques, 95 % d’entre eux ferment leurs portes durant leurs 5 premières années d’existence. Voici quelques conseils pour bien promouvoir sa start-up dès le début, tirés des expériences inouïes de celles qui ont embrassé le succès. Constituez minutieusement votre persona cible En tant que start-up, vous devez déjà avoir un produit intéressant, répondant aux besoins du grand nombre. Mais ce n’est pas pour autant qu’il se vendra seul. Il vous sera nécessaire d’établir un plan de prospection dans le but principal de promouvoir sa start-up. Pour bien cibler son audience, il est primordial de se créer une persona. Par la suite, vos actions vont s’orienter davantage sur cette dernière. Ce sera également le principal pilier de votre notoriété, donc veillez à ne pas le prendre à la légère. Concrètement, cette étape consiste à établir un profil représentant votre client idéal. En d’autres termes, il s’agit d’un prototype susceptible à la fois de s’intéresser à votre produit et d’être convaincu de l’acheter. Les caractères peuvent être classés selon diverses catégories : âge, sexe, domicile, pays d’origine, etc. Plus le profil est précis, plus il sera facile de faire la promotion de votre start-up. Vente Privée est une preuve de l’efficacité de ce processus. On peut dire que son projet a réussi avec ses 20 millions de membres fidèles en 2020. Affirmez votre originalité et votre créativité Pour s’élever sur son piédestal dans un monde où la concurrence règne, il est essentiel de se faire remarquer par son unicité. Que ce soit au niveau du produit, des modèles ou de la communication, la start-up doit trouver un moyen d’attirer l’attention de ses cibles. L’exemple idéal de la créativité est sans doute Woodoo, une entreprise fondée en 2016, dont l’originalité se porte surtout sur la conception de ses produits. L’idée de cette start-up se repose sur l’élaboration de matériaux en bois renforcés par la technologie moléculaire, assurant sa durabilité. Afin d’augmenter la visibilité de sa start-up, beaucoup de procédés sont mis en œuvre. Premièrement, l’objectif est de stimuler les sens du client cible pour qu’il tourne son attention sur les moyens d’approche. Ensuite, il va falloir susciter son intérêt sur les présentations. À titre d’exemple, on peut citer le contenu marketing, un outil de communication destiné à ces fins. Le titre de l’article doit être original et d’une valeur « accrocheur », tandis que les idées logiques et centrées sur le lecteur encouragent ce dernier à poursuivre sa lecture. Développez une stratégie marketing efficace A l’heure où on mise sur le numérique, chaque entreprise se doit d’établir un plan de communication à visée marketing. Cela

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H2O Multistratégie est un fonds alternatif qui consiste à tirer profit de l’évolution des marchés internationaux de changes, de taux et d’actions. C’est un fonds très attractif qui connaît un franc succès depuis quelques années. Il vise à maximiser les performances de façon constante. Il peut rapporter entre 10 à 15% par an à l’investisseur, et ce, quelles que soient les conditions de marché. Comprendre le fonds alternatif H2O Multistratégie est enregistré en France. Il alloue jusqu’à 100% de son capital dans des obligations garanties ou versées par des pays membres de l’OCDE, jusqu’à 50% dans des opérations de pays qui composent l’indice MCI World All Countries, et enfin jusqu’à 60% dans des obligations de sociétés versées par d’autres firmes siégeant dans les pays de l’OCDE. Avec une allocation d’actifs flexibles et multi-actifs pour une durée d’investissement idéale de 4 ans, H2O Multistratégie cherche à acquérir la performance. Il met en place une politique d’investissement basée sur une approche de gestion réactive. Les gestionnaires établissent alors des stratégies de direction, des arbitrages ainsi que des positions relatives sur les marchés des devises, des actions et des titres à revenu stable. Quelle est la stratégie d’investissement adoptée ? On gère le fonds commun de placement suivant un procédé de gestion diversifiée active cherchant à tirer parti des évolutions des marchés internationaux de devises, d’actions et de taux de changes. En même temps, on privilégie les bourses du G4 et les marchés obligataires gouvernementaux comme le Royaume-Uni, le Japon, les USA et la zone zéro. Sur la période de placement recommandée de 4 ans, le fonds commun vise à acquérir une performance réelle dépourvue d’un indicateur de référence. Les performances de stratégies multiples de H2O peuvent être confrontées avec celles de l’indice composite formé à 50 % de celui MSSCI monde Developed Markets et à 50 % de l’indice JP Morgan gouvernement Bond index Broad au cours de sa période minimale de placement recommandée. Quelles sont les particularités de gestion ? Ce n’est pas très courant de voir une performance constante des marchés financiers sur le total des classes d’actifs ainsi que sur toutes les zones géographiques. Ainsi, en vue de dégager les meilleures performances en dépit des environnements des marchés, il est primordial de pouvoir acheter ou vendre une classe d’actifs, de passer d’un segment de marché à l’autre ainsi que d’un endroit à l’autre. Si les gestionnaires H2O Multistratégie entament une appréciation de l’euro contre le dollar, ils achèteront l’euro et vendront la devise du dollar. De même, pour une surperformance des marchés développés, ils achèteront des actions européennes et américaines tout en vendant des actions émergentes. A qui s’adresse ce fonds ? Ce fonds de placements est principalement destiné aux Conseillers en Gestion de Patrimoine Indépendant (CGPI) et aux institutionnels. D’une certaine façon, il s’adresse aussi aux particuliers. Toutefois, le fonds concerne uniquement des investisseurs avertis, ce qui fait que le poids des particuliers dans H2O Multistratégie demeure marginal. Même si ce fonds présente de nombreux avantages, il n’en

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Le Canada séduit un grand nombre d’entrepreneurs depuis quelques décennies déjà. En effet, le pays bénéficie d’un environnement favorable au démarrage d’une affaire pour les petites et moyennes entreprises. C’est pourquoi des citoyens français et étrangers s’y rendent pour ouvrir leur société. Cependant, il convient de suivre plusieurs étapes pour réussir un tel projet. La création d’entreprise au Canada : définir la stratégie d’implantation Créer son entreprise au Canada constitue une étape cruciale dans la vie d’un entrepreneur, d’autant plus qu’il s’agit d’un investissement intéressant à l’étranger. L’État canadien dispose de règles bien précises afin d’aider l’intéressé à concrétiser ses projets. Chaque démarche doit être traitée avec soin dans l’objectif d’éviter l’échec. La première phase consiste à définir en amont sa stratégie. Pour cela, il convient élaborer un business plan et réaliser une étude de marché pour évaluer le niveau de concurrence et pour s’imprégner du marché local. Ensuite, il va falloir songer à choisir une forme sociale. L’investisseur a la possibilité d’opter soit pour une entreprise individuelle, soit pour une SNC (Société en Nom Collectif) ou encore une entreprise par actions. Cette dernière forme est la plus prisée par les entrepreneurs qui viennent s’installer au Canada. En effet, la firme est considérée comme une personne morale et dispose de ce fait, d’obligations et de droits qui lui sont propres. L’étape suivante concerne la constitution pure et simple de l’entité sur place. Afin d’assurer le bon déroulement du processus d’implantation, il est plus judicieux de solliciter un avocat spécialisé en droit des affaires. Il saura conseiller et accompagner au mieux les investisseurs tout au long des démarches. Il les guidera sur la meilleure stratégie à adopter et sera en mesure de rédiger l’ensemble des documents juridiques tels que les statuts de l’enseigne. L’intérêt de demander un visa de travail Concernant les formalités d’entrée au Canada, elles sont les mêmes qu’aux États-Unis. Les entrepreneurs devront ainsi obtenir une autorisation d’entrée au Canada en ligne, notamment sur evisatourisme.com. Effectivement, il est indispensable d’avoir un visa pour installer son entreprise. Toutefois, il faut répondre à certains critères pour pouvoir être éligible au Programme de visa. Le demandeur doit tout d’abord présenter une lettre de soutien d’un groupe d’investisseurs, d’un incubateur d’entreprises ou d’un fonds de capital-risque canadien. L’appliquant devra par la suite répondre aux compétences linguistiques, grâce à l’obtention d’au moins 5 NCLC en français ou en anglais. Par ailleurs, il est tenu de remplir certaines exigences de détention de droit de vote au sein de la société. Et enfin, il doit disposer d’un budget suffisant pour lui permettre d’assurer ses premiers besoins et de s’établir facilement. Ces données sont essentielles une fois que le demandeur décide de migrer vers le pays canadien. En cas de besoin, le recours aux conseils d’un expert en droit des sociétés canadien est de mise.

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La majorité des entrepreneurs qui décident d’ouvrir une officine utilisent les services des experts des transactions de pharmacies afin de réussir à mener à bien leur projet. Grâce à leur savoir-faire, ils peuvent trouver les meilleures sources de financement pour ouvrir ou reprendre une officine dans leur région. Afin d’ouvrir une officine, la plupart des entrepreneurs ont besoin d’un financement extérieur. Avant de vous lancer sur ce marché en pleine croissance, il est recommandé d’explorer en amont les tendances du secteur. Les experts des transactions de pharmacies peuvent vous aider à trouver les ressources financières dont vous avez besoin pour réussir votre projet. Déterminer le montant de l’apport personnel Un grand nombre d’entrepreneurs décident de collaborer avec des spécialistes des transactions de pharmacies afin de réussir à financer leur projet. Dans la plupart des situations, le taux moyen retenu d’apport personnel ne doit pas être inférieur à 20% de la valeur globale de l’acquisition. L’apport personnel des investisseurs se situe d’habitude entre 20 et 40% de l’acquisition. Les professionnels de la filière qui possèdent plusieurs années d’expérience dans le domaine vous recommandent de ne pas utiliser dès le début toutes vos économies, car vous en aurez certainement besoin plus tard pour divers travaux de rénovation ou de décoration. Choisir le prêt bancaire ou le crédit vendeur ? Les pharmaciens qui décident d’ouvrir leur propre officine ont aujourd’hui la possibilité de bénéficier de divers financements extérieurs pour se lancer sur ce marché en plein essor. En fonction du montant de l’affaire acquise, ils peuvent obtenir des financements sous la forme d’un crédit vendeur ou d’un prêt bancaire. Les crédits bancaires se font d’habitude sur une dizaine d’années. En règle générale, les banquiers signent les contrats de financement sur une durée soit de 12 ans, soit de 15 ans. Il faut préciser que vous pouvez obtenir également un crédit vendeur. Les experts de POD vous conseillent pour que vous puissiez choisir le meilleur financement tout en prenant en considération les particularités de votre projet d’investissement, le montant et la rentabilité de l’acquisition envisagée. Depuis 1989, les spécialistes diplômés et qualifiés de POD ont aidé de nombreux pharmaciens à acheter, à vendre ou à reprendre une officine partout en France. Sur leur site Internet, vous avez la possibilité de vous renseigner davantage sur leur savoir-faire et sur les services qu’ils vous proposent.

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Avant de se lancer dans un projet de création d’entreprise, il est important de bien se préparer. Plusieurs étapes sont nécessaires avant que votre entreprise puisse ouvrir ses portes. Créer une entreprise est un projet à long terme, qui ne peut pas être improvisé. En plus de la conception des produits et services de votre entreprise, vous devrez respecter plusieurs réglementations. Ainsi, vous devrez réaliser plusieurs démarches, dont le choix du statut juridique de votre entreprise et son enregistrement, qui sont indispensables pour démarrer votre activité. Les étapes nécessaires pour la création d’une entreprise La première étape de la création d’une entreprise est l’élaboration d’un business plan. Ce document est fondamental pour identifier clairement vos clients cibles ainsi que votre domaine d’activité. Si vous recherchez des solutions de financement, ce document vous permettra de vendre votre projet aux investisseurs. La business plan reprend les points forts de votre projet et sa capacité à générer des profits, notamment grâce à une étude de marché. Une fois le projet validé et le financement trouvé, il vous faudra également choisir la forme juridique. Ce choix est très important, car le régime fiscal et les obligations des dirigeants et de la société sera déterminée par la forme juridique. Lors de cette étape, il est préférable de faire appel à un conseiller, de préférence un expert-comptable. Vous devrez ensuite procéder à la réalisation des formalités nécessaires à l’enregistrement de votre entreprise, notamment à la rédaction des statuts de la société. Les statuts sont concrétisés par un document qui décrit le fonctionnement de l’entreprise, notamment en ce qui concerne les obligations des actionnaires. Une fois ces démarches accomplies, vous devez immatriculer l’entreprise auprès du registre du commerce et des sociétés ainsi que dans le bulletin officiel des annonces civiles et commerciales. C’est une obligation qui permettra à votre société d’exister en tant que personne juridique. La réalisation de ces formalités peut être confiée à un professionnel expert. L’importance du kbis Une fois ces étapes finalisées, vous obtiendrez votre k-bis. Ce document officiel sera la carte d’identité de l’entreprise. Le k-bis est un document qui prouve l’existence juridique d’une entreprise commerciale ou d’une société en France. Le k-bis n’a pas de durée limite concernant sa validité sauf si cela est demandé. Cependant, si l’entreprise change de capital social, de dirigeant ou d’adresse de son siège social, vous devrez obtenir un kbis de moins de 3 mois. Des sites spécialisés permettent de disposer d’un extrait de k-bis directement en ligne. Il se présente sous la forme d’un extrait du registre du commerce et des sociétés. De plus, le kbis permettra servira à la société pour l’achat de marchandises et notamment pour pouvoir répondre à des appels d’offres. Par conséquent, l’obtention du k-bis vous permettra de débuter votre activité.

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De nombreuses personnes rêvent de créer leur entreprise. Néanmoins, il n’est pas aussi facile de mener à bien ce type de projet. Les entrepreneurs doivent effectuer plusieurs démarches, avec lesquelles ils ne sont pas à l’aide au début. Pour les réussir, il est important de solliciter l’aide d’un professionnel. Les établissements qui proposent un accompagnement gratuit L’État a créé plusieurs entités pour accompagner les entrepreneurs, dont les Chambres de commerce et d’industrie. Ces établissements sont présents dans pratiquement toutes les villes en France et proposent une séance d’information hebdomadaire. Les participants peuvent s’y rendre pour obtenir tous les renseignement nécessaires pour mener à bien leurs démarches. Les entrepreneurs qui se lancent dans l’agriculture ont la possibilité de s’adresser à une chambre d’agriculture locale. L’agence pour la création d’entreprises peut également apporter son aide. Dans tous les cas, toutes ces structures n’offrent pas un suivi personnalisé. Les agents ne peuvent pas accorder beaucoup de temps à chaque interlocuteur. Ainsi, les intéressés n’auront pas de réponses à toutes leurs questions, ce qui est particulièrement problématique pour ceux qui n’ont pas encore choisi leurs statut juridique. Afin de profiter d’une oreille attentive, il est conseillé de solliciter une assistance juridique. De nombreux cabinets d’avocats proposent désormais ce type de services. Pourquoi faire appel à un avocat pour créer une entreprise ? L’accomplissement des formalités de création nécessite l’intervention d’un professionnel. La rédaction de statuts doit être confiée à un juriste. Cet acte déterminera le statut juridique de la future société. Si certaines clauses ne sont pas correctement rédigées, cela risque de poser problème rapidement. Le choix de la forme juridique aura également un impact sur la responsabilité des dirigeants. Dans certains cas, le patrimoine de la société peut être indivisible de celui des chefs d’entreprises. En cas de faillite, les fondateurs peuvent perdre l’argent investi. Dans ce contexte, il est conseillé de faire appel à un cabinet d’avocats en droit des affaires. Les avocats étudient chaque projet de création de sociétés. Les juristes peuvent également se charger de la négociation entre les différents actionnaires. Les entrepreneurs ont souvent recours à ce type de service si leur société suscite l’intérêt des investisseurs. Les avocats qui proposent ces prestations peuvent être contactés sur Internet.

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