Les grandes entreprises externalisent de plus en plus le recrutement, la comptabilité et d’autres processus qu’elles avaient l’habitude de gérer elles-mêmes. Opter pour l’outsourcing permet en réalité de mieux développer une stratégie de marketing jugée prometteuse. Mais, quand recourir réellement à cette solution ? Pourquoi opter pour l’outsourcing ? L’outsourcing ou encore l’externalisation est le transfert de fonctions peu essentielles de l’entreprise à des tiers. Elle consiste à impliquer des acteurs externes pour exécuter certains processus commerciaux de l’entreprise. L’externalisation est nécessaire lorsqu’une entreprise a besoin de plus de ressources pour développer les processus commerciaux clés dans lesquels elle excelle. Pour plus d’efficacité et un meilleur rendement, les processus non essentiels qui manquent de ressources ou de compétences peuvent être confiés à un entrepreneur professionnel. Pour en savoir plus sur la notion, n’hésitez pas à vous rendre sur le site web outsourcing-management-services.com qui vous réserve d’excellents conseils. De nos jours, les entreprises peuvent externaliser presque tous tâches et services, dont : les services informatiques, y compris le développement de logiciels et d’applications, l’assistance technique ; le service client ; les processus de fabrication ; les tâches liées aux ressources humaines ; la comptabilité et la paie. Les petites entreprises peuvent avoir recours à l’outsourcing dans le but de résoudre des problèmes temporaires. Cela est possible lorsque la société a besoin par exemple de deux personnes en urgence pour une livraison ou pour une promotion d’une courte durée. Quant aux moyennes et grandes entreprises, l’outsourcing leur permet de libérer des ressources administratives et monétaires afin de se concentrer sur la planification stratégique. Comment réussir l’externalisation ? Pour mener à bien une externalisation, certaines étapes sont nécessaires. Les décisions reposent généralement sur la définition d’un besoin interne. De fait, il faut d’abord créer le besoin d’externaliser. Pour cela, commencez par identifier une fonction qui peut être externalisée. En cas d’identification d’un besoin facile à satisfaire en interne, vous pouvez passer à l’étape suivante : il s’agit de l’analyse financière.   Cette étape doit se faire rationnellement. Vous devez mettre en évidence les avantages et inconvénients. Posez-vous ainsi de bonnes questions : combien coûtera la formation de spécialistes ? Quel sera leur salaire ? Êtes-vous prêt à payer pour les temps d’arrêt ? Une fois l’analyse financière effectuée, la dernière étape consiste à trouver un prestataire de services expérimenté. Mais attention aux risques monétaires et de réputation. En effet, les services qui coûtent deux fois moins cher que les tarifs normaux constituent par exemple des risques. Si une entreprise décide d’externaliser une tâche tout en économisant et en limitant les risques, un prestataire de services transparent avec une bonne réputation est le meilleur choix.

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Les automobilistes confrontés à ce type de dommages font, dans l’immense majorité de cas (66%), appel à un prestataire indépendant des concessionnaires pour résoudre le problème. Le marché « bris de glace » est en effet dominé par des réseaux spécialistes qui cherchent à développer un service de proximité, partout sur le territoire en s’appuyant sur des franchisés. Bris de glace : jusqu’à 10% de automobilistes touchés Les enseignes spécialisées dans la réparation de vitrages auto ont pris l’ascendant depuis une vingtaine d’années sur les concessionnaires et garages qui exercent une activité de maintenance plus globale. Il faut dire que demande est forte sur ce créneau : entre 7 et 10% des automobilistes subissent, au moins une fois dans l’année, un bris de glace sur leur véhicule. Afin de renforcer leur maillage territorial en régions et déployer un service de proximité à l’échelle des métropoles et des villes moyennes en lien avec les zones rurales, ces entreprises bâtissent un réseau composé d’ateliers locaux. A Lyon, Saint-Etienne, Grenoble ou dans de plus petites unités urbaines comme Chambéry, Bourg-en-Bresse ou Aurillac, un prestataire indépendant s’est déjà engagé auprès de France Pare-Brise pour devenir franchisé pare brise, au sein de ce réseau national. Créée il y a presque trente ans par une quinzaine de professionnels spécialisés dans la réparation d’impacts sur les parties vitrées des automobiles et/ou leur remplacement, ce groupe s’appuie depuis 2009 sur le modèle de la franchise pour accélérer son développement (en 2016, la marque a intégré le puissant groupe français Saint-Gobain, leader mondial de la verrerie, et fabricant de vitres pour véhicules à travers sa filiale Saint-Gobain Sekurit). L’opération séduction a réussi puisque France Pare-Brise dispose aujourd’hui d’un réseau très dense de plus 440 centres répartis en France métropolitaine et les DOM, et réalise chaque année au moins 400 000 interventions. Ouvrir un franchise France Pare-brise : quel droit d’entrée ? Leurs équipes de techniciens réparent ou remplacent tous types de surfaces vitrées, le pare-brise évidemment frappé par un impact ou cassé, mais aussi les fenêtres latérales, la lunette arrière, ou les blocs optiques. La clientèle professionnelle (véhicules utilitaires, cars, engins de chantier et agricoles) et celle des particuliers (voiture de tourisme, camping-car, vans) sont pris en charge, quelle que soit la marque utilisée. Pour occuper le terrain, fédérer des compétences en lien avec la spécificité de chaque territoire, gagner de nouvelles parts de marché face à ses concurrents et renforcer ses partenariats avec les assurances qui proposent dans leurs formules des garanties optionnelles « bris de glace », France Pare-Brise recrute toujours plus de franchisés : leur adhésion au réseau est conditionnée au versement d’un droit d’entrée abordable (19 000 euros). Une fois membres du groupement, ces prestataires bénéficient de formations régulières qui leur permettent de se perfectionner et d’accéder à un savoir-faire éprouvé par 30 ans d’expérience. Face à une rapide évolution de l’offre et des besoins, l’enseigne su s’adapter en élargissant ses services à la réparation des voitures à domicile, les interventions sur le lieu de

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Face à la crise sanitaire doublée d’une crise économique, le gouvernement souhaite encourager l’accès des petites et moyennes entreprises à la commande publique. La révision des seuils de procédure permet justement de développer les marchés à procédure adaptée (MAPA), plus accessibles grâce à des procédures simplifiées. Les procédures de passation des marchés publics Dans la commande publique, on distingue deux procédures de passation : Les marchés à procédure formalisée sont encadrés par le droit français et le droit européen : ils sont soumis à des règles de procédure et de publicité telles que détaillées dans le Code des marchés publics  ; Dans un marché à procédure adaptée (MAPA), l’acheteur définit librement les modalités de passation du marché. Néanmoins, il doit respecter les principes fondamentaux de la commande publique et « veiller à choisir une offre répondant de manière pertinente au besoin, à faire une bonne utilisation des deniers publics et à ne pas contracter systématiquement avec un même prestataire lorsqu’il existe une pluralité d’offres potentielles susceptibles de répondre au besoin. » (art. 28 du Code des marchés publics). Les acheteurs publics choisissent le type de procédure de passation en fonction du montant du marché et de son objet (fournitures, services, travaux). Les seuils des marchés publics Les seuils européens définis au 1er janvier 2020 Au 1er janvier 2020, les seuils de procédures formalisées étaient fixés à : 139 000 € HT pour les marchés publics de fournitures ou de services de l’État ; 214 000 € HT pour les marchés publics de fournitures ou de services des collectivités locales ; 5 350 000 € HT pour les marchés publics de travaux. Le cas particulier des MAPA inférieurs à 40 000 € L’article R. 2122-8 du code de la commande publique fixe à 40 000 € HT le seuil de dispense de mise en concurrence pour les prestations de fournitures, de services ou de travaux. En conséquence, pour les achats d’un montant inférieur à ce seuil, l’acheteur peut conclure un marché sans publicité ni mise en concurrence préalables. Il peut ainsi s’adresser directement à une ou plusieurs entreprise(s). Les seuils momentanément réajustés Compte tenu de la crise économique engendrée par la crise sanitaire, les seuils communautaires de dispense de publicité et de mise en concurrence ont été révisés : Initialement fixé à 40 000 € HT, le seuil a momentanément été relevé à 70 000 € pour les commandes de travaux et à 100 000 € pour la fourniture de denrées alimentaires dans un décret du 22 juillet 2020 ; La loi ASAP, promulguée le 7 décembre 2020, prévoit un relèvement temporaire du seuil à 100 000 euros HT jusqu’au 31 décembre 2022 pour les marchés de travaux. L’augmentation des seuils vise à élargir l’accès des marchés publics aux petites et moyennes entreprises (PME), particulièrement durement touchées par la crise. L’aubaine des MAPA pour les TPE-PME Grâce à ces nouveaux seuils, les marchés à procédure adaptée sont en nette hausse cette année. Il s’agit là d’une opportunité pour les TPE et les PME qui peuvent désormais accéder à des marchés de plus grande ampleur, économiquement attractifs, tout en bénéficiant de

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Le Canada séduit un grand nombre d’entrepreneurs depuis quelques décennies déjà. En effet, le pays bénéficie d’un environnement favorable au démarrage d’une affaire pour les petites et moyennes entreprises. C’est pourquoi des citoyens français et étrangers s’y rendent pour ouvrir leur société. Cependant, il convient de suivre plusieurs étapes pour réussir un tel projet. La création d’entreprise au Canada : définir la stratégie d’implantation Créer son entreprise au Canada constitue une étape cruciale dans la vie d’un entrepreneur, d’autant plus qu’il s’agit d’un investissement intéressant à l’étranger. L’État canadien dispose de règles bien précises afin d’aider l’intéressé à concrétiser ses projets. Chaque démarche doit être traitée avec soin dans l’objectif d’éviter l’échec. La première phase consiste à définir en amont sa stratégie. Pour cela, il convient élaborer un business plan et réaliser une étude de marché pour évaluer le niveau de concurrence et pour s’imprégner du marché local. Ensuite, il va falloir songer à choisir une forme sociale. L’investisseur a la possibilité d’opter soit pour une entreprise individuelle, soit pour une SNC (Société en Nom Collectif) ou encore une entreprise par actions. Cette dernière forme est la plus prisée par les entrepreneurs qui viennent s’installer au Canada. En effet, la firme est considérée comme une personne morale et dispose de ce fait, d’obligations et de droits qui lui sont propres. L’étape suivante concerne la constitution pure et simple de l’entité sur place. Afin d’assurer le bon déroulement du processus d’implantation, il est plus judicieux de solliciter un avocat spécialisé en droit des affaires. Il saura conseiller et accompagner au mieux les investisseurs tout au long des démarches. Il les guidera sur la meilleure stratégie à adopter et sera en mesure de rédiger l’ensemble des documents juridiques tels que les statuts de l’enseigne. L’intérêt de demander un visa de travail Concernant les formalités d’entrée au Canada, elles sont les mêmes qu’aux États-Unis. Les entrepreneurs devront ainsi obtenir une autorisation d’entrée au Canada en ligne, notamment sur evisatourisme.com. Effectivement, il est indispensable d’avoir un visa pour installer son entreprise. Toutefois, il faut répondre à certains critères pour pouvoir être éligible au Programme de visa. Le demandeur doit tout d’abord présenter une lettre de soutien d’un groupe d’investisseurs, d’un incubateur d’entreprises ou d’un fonds de capital-risque canadien. L’appliquant devra par la suite répondre aux compétences linguistiques, grâce à l’obtention d’au moins 5 NCLC en français ou en anglais. Par ailleurs, il est tenu de remplir certaines exigences de détention de droit de vote au sein de la société. Et enfin, il doit disposer d’un budget suffisant pour lui permettre d’assurer ses premiers besoins et de s’établir facilement. Ces données sont essentielles une fois que le demandeur décide de migrer vers le pays canadien. En cas de besoin, le recours aux conseils d’un expert en droit des sociétés canadien est de mise.

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Les aides financières d’Oséo pour la création d’entreprise en 2009. D’après le bilan 2009 d’Oséo, la banque publique d’aide aux petites et moyennes entreprises a financé 40 000 créations d’entreprises l’année dernière. Son soutien s’est matérialisé sous la forme de prêts bancaires garantis : 2,4 milliards d’euros (2,5 milliards prévu pour 2010), de prêts à la création d’entreprise : 98 millions d’euros (100 millions prévus pour 2010) et de 20 millions de prêts participatifs d’amorçage (enveloppe inchangée pour 2010). Oséo a également encouragé 171 projets de création d’entreprise par le biais du Concours National d’Aide à la Création d’Entreprises de Technologies Innovantes qui l’a vu distribué des subventions allant jusqu’à 450 000€.

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