Se mettre à son compte

Créer une entreprise est un acte de foi qui divise. Les incroyants d’un côté qui jugent bon de vous avertir à grands coups de « ça ne marchera jamais » et les croyants de l’autre qui en perdent tout bon sens. Le doute reste en la matière le meilleur des moteurs. Et éteindre ce doute la meilleure méthode pour avancer dans la création.

Démarrer en toute sécurité

Créer son entreprise, c’est prendre des risques. Cela signifie quitter un poste avec des revenus stables pour se lancer dans une activité pas toujours rentable. Le risque zéro n’existe pas mais de nombreuses solutions sont offertes aux créateurs afin de minimiser la prise de risque. On peut citer le portage salarial, l’essaimage, le parrainage… Ces méthodes permettent de tester un concept et de le valider avec l’aide de professionnels expérimentés et aguerris.

2. Des simplifications

Des simplifications

Le côté administratif de la création d’entreprise a été simplifié lors de l’apparition du guichet unique qui est proposé par le Centre de Formalités des Entreprise (CFE). Un seul interlocuteur, un seul dossier : gain de temps et d’énergie.
La mise en place de l’auto-entreprise permet aussi de simplifier la création d’une entreprise. Ce statut est accessible en deçà de plafonds, mais il peut être adapté au démarrage de l’entreprise, quitte à changer de statut au bout d’un an ou deux.

3. Des secteurs porteurs

Des secteurs porteurs

Malgré la crise, des secteurs tirent leur épingle du jeu, surfant même sur la vague « récession ». C’est par exemple le cas des experts et des conseillers en stratégie. Attention tout de même, tout le monde ne peut pas s’improviser spécialiste, il faut posséder de réelles connaissances.
Les entreprises touchant à l’écologie ont aussi le vent en poupe, parce que la prise de conscience est réelle, mais aussi parce que l’écologie fait réaliser de nombreuses économies, ce qui n’est pas négligeable en ces temps de crise. A bon entendeur…

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